jeudi 27 septembre 2012

LES DROGUES CAPABLES DE MODIFIER L'ATTITUDE


Les drogues sont apparemment capables de modifier l'attitude d'une personne, en transformant sa personnalité originelle en une autre qui va nourrir en secret des animosités et des haines qu'elle ne permettra pas de manifester ouvertement.



En retraçant les années soixante, où la drogue atteint son apogée, l'agence de renseignement des Etats-Unis recruta en premier Eli Lilly pour fabriquer en masse de l'acide lysergique et qui utilisa le mot << trip >> pour décrire une expérience hallucinogène.

Aux environs du milieu des annèes soixante, l'ironie va encore plus loin avec ce qui constituait un poste d'observation de la CIA dans le quartier psychédélique de Haight-Ashubury à San Francisco. Là, des hyppies étaient systématiquement rendu hystériques à leur insu au moyen de doses de BZ super-psychédélique qui leur étaient fournies - ainsi que d'autres drogues -par le psychiatre contracté avec la CIA, Louis << Joly >> West. ( Soit dit en passant, le Bz était l'agent qui allait être utilisé plus tard par les membres de la première cavalerie aéromobile avec des effets tout aussi dévastateurs sur les irréguliers du Vietcong.) Pendant ce temps, les analystes de la CIA à la Corporation Rand de Santa Monica contemplait les répercussions sociopolitiques que représentaient quatre millions de jeunes Américains prenant du LSD, tandis que plus de 7 pour 100 des soldats américains revenant des zones de combat vietnamiennes étaient drogués à l'héroine - héroine cultivée, traitée et expédiée à Saigon par des gangs soutenus par la CIA.

Avec le recul, il est sans doute difficile d'estimer la rapidité avec laquelle les années soixante déraillèrent aprés 1967. Bien qu'à l'èpoque, au niveau de la rue, on avait tendance à blamer le crime organisé pour l'injection d'héroine, de méthamphétamine et de LSD impur, il est difficile de tenir la mafia pour responsable de ce qui marqua 1968 comme une année de soulèvement social généralisé et de violence effrénée. Pour ne citer que deux chiffres : alors que les taux de criminalité entamaient une ascension qui allait durer trois décenniess et atteindre des niveaux sans précédents, cent vingt-cinq cités américaines explosaient en émeutes et plus de quatre mille attentats politiques à la bombe étaient perpétrés. Il faut également considérer ceci : bien que les expérimentations psychiatriques soutenues par l'armée aient échoué à isoler les moyens de créer le tueur parfait, le déversement d' hallucinogènes dans les rues de San Francisco avait eu tout à voir avec le façonnage de Charles Manson. PAD/BSU

Charles Milles Manson, né le 12 novembre 1934 à Cincinnati, dans l'Ohio, aux États-Unis, est un criminel américain. Leader d'une communauté appelée « la famille » en pleine période hippie à la fin des années 1960, il s'est rendu célèbre par une série d'assassinats dans la région de Los Angeles en 1969.

Il a été reconnu coupable, en 1971, du meurtre, très médiatisé, de l'actrice américaine Sharon Tate, épouse du réalisateur Roman Polanski, alors enceinte, et de trois de ses amis. Il n'a pas commis lui-même les crimes, mais en a été reconnu comme le commanditaire[1],[2].


ROBERT KENNEDY

rfkmustdie

L' assassin de Rober Kennedy Sirhan Shiran était sous contrôl mental.

Depuis 1968, l’assassin officiel dit qu’il ne se rappelle pas du moment où il a tiré. Et ses avocats disent que c’est parce qu’il était à ce moment sous l’emprise d’un contrôle mental, d’une « hypno programmation », dit autrement.

Un expert, prof associé en psychologie à Harvard et spécialisé dans l’hypnose, le confirme après avoir interviewé Sirhan durant 60 heures en l’espace de trois ans. Daniel Brown, c’est son nom, affirme en effet que l’assassin aurait été manipulé au moment des faits, et même qu’il était accompagné par un moustachu à l’accent étranger, qui a refusé de s’identifier et de signer le registre. Le moustachu aurait dit à Sirhan que les officiels du gouvernement doivent être tués. http://dondevamos.canalblog.com/archives/2012/01/05/23175269.html



infoville@bluewin.com

CONSOMMATION PANDEMIQUE DE STUPEFIANTS


CE QUE VOUS NE SAVEZ PAS POURRAIT VOUS TUER!


The_everlasting_gaze_by_shaguraRitaline-Méthylphénidate administrée aux enfants, un psychotrope dangereux!







LES DROGUES ILLEGALES ET LEGALES EN TANT QU' INSTRUMENT DE CONTROLE DE LA SOCIETE ET LA BRUTALE VERITE A LEUR SUJET


Pour ceux qui travaillent dans le domaine de la toxicomanie ( respect des lois, prévention et traitement ), cette publication sera une révélation. Car ils trouveront véritablement ici ce qu'ils ont cherché ou ce qu'ils ont perdu l'espoir de trouver.

A titre d'information, commençons par quelques faits pertinents pour les lecteurs qui ne sont pas familiarisés avec ce qui a été légitimement décrit comme une consommation pandémique de stupéfiants. Tout d'abord, les sommes que la population mondiale consacre à l'achat de drogues dépassent celles consacrées à la nourriture, à l'habillement, à l'éducation ou a n'importe quel service social. Des opaciés et amphétamines aux substances psychotropes, plus de 200 millions d'hommes, de femme et d'enfants consomment régulièrement des drogues illégales. On les trouve aux quatre coins de la planète. En fait l'image populaire du toxicomane qui agit subrepticement et hante les shooteries des quartiers déshérités est plutôt mytique. La plupart des sonsommateurs de stupéfiants ont un emploi et on peut les trouver dans tous les secteurs de la société. Ils sont américains, européens, asiatiques et africains et proviennent de toutes les classes socioéconomiques. Plus de quatre cent milliars de dollars sont dépensés chaque année en maintient de l'ordre, prévention et traitement, mais ce n'est qu'une goutte d'eau dans l'océan en comparaison de ce que la consommation de stupéfiants coûte en terme de perte de productivité, criminalité et difficultés en général. Et au-delà de cela, quel est le prix de la souffrance?

Si nous n'avons pas encore mentionné spécifiquement les produits pharmaceutiques licites, y compris les médicaments psychiatriques d'une rentabilité obscène, cela ne veut pas dire que ce commerce ne joue pas son rôle. En fait, au vu de la consommation légale de psychotropes ( prescrits par des médecins qui gagnent des kilomètres de vol en avion pour chacune des ordonnances qu'ils rédigent ), la soi-disant guerre contre les drogues illégales devient une sorte de plaisanterie. A titre d'information, la consommation de psychotropes dépasse actuellemnet celle de tous les stimulants et opiacés illégaux. Par ailleurs, les antidépresseurs à eux seuls engendrent des milliards de dollars par an pour une industrie qu'on peut à juste titre décrire comme l'industrie du << régulateur d'humeur express . >> Celle-ci vend des médicaments contre des << problèmes existentiels >> dont l'existence est littéralement votée par des psychiatres à main levée. Il y a aussi les tout aussi rentables (et puissants) méthylphénidates que l'on distribue aux écoliers pour traiter des désordres d'apprentissage, désordre également inventés dans le cadre de campagnes de marketing soigneusement conçues. Ainsi, oui, avec un battage publicitaire de plusieurs milliards de dollars pour enfoncer le message clé de toute la consommation de stupéfiants : << Mieux vivre avec la chimie >>, les produits pharmaceutiques font partie intégrante du problème. De plus, alors que le Zyprexa reste l'un des médicaments les plus vendus de l'histoire de la pharmacie, les prévisions de profits pour les antidépresseurs de la génération suivante battent tous les records Car les populations ont été maintenant bien conditionnées à avaler des médicaments qui régulent l'humeur.

Il est inutile de préciser que les répercussions sont énormes. Elles sont d'autant plus à la lumière des découvertes de L.R. Hubbard. Par exemple, dit-il, si l'effondrement physique qui accompagne l'usage de drogues illégales ou légales est généralement connu, l'effondrement mental et émotionnel ne l'est pas. Bien avant les études cliniques sur la violence psychopharmacologique, il écrit : << Les drogues sont apparemment capables de modifier l'attitude d'une personne, en transformant sa personnalité originelle en une autre qui va nourrir en secret des animosités et des haines qu'elle ne se permettra pas de manifester ouvertement . >>

Que cette déclaration soit vraie (et même les caractères microscopiques des étiquettes de mise en garde des psychotropes le signalenet maintenant) n'est que trop évident. Voici quelques incidents révélateurs : plus de soixante-dix homicides ont été déclenchés par des produits pharmaceutiques depuis le marketing massif des psychotropes et aucun d'entre eux n'était sélectif. Cela signifie que nous parlons maintenant de tueurs, rendus furieux par les médicaments, qui massacrent de parfaits inconnus sans la moindre raison. Depuis l'introduction des méthylphénidates ( des médicaments décrits par la Drug Enfoncement Agency des Etats-Unis comme poussant manifestement à un comportement violent ), la violence chez les écoliers et étudiants adolescents a plus que doublé. Il y a également le fait que ceux qui prennent des médicaments psychotropes dans les prison sont trois plus susceptibles de menacer ou de sévèrement blesser quelqu'un que les autres détenus non médicamentés. Enfin, des études sur la criminalité causée par les médicaments issus de la nouvelle génération de sédatif hypnotique signalent un effet du type << Dr. Jekyll et M. Hyde. >> Des sujets ont montré des changements de personnalité soudain et radicaux, adoptant un comportement criminel. De plus, les conclusions de cette étude incluaient : << leurs crimes étaient extrêmement violents . >>

On pourrait citer d'autres exemples : la brutalité horrifiante des << enfants soldats >> a également été liée à des médicaments psychotropes, et des entrepôts d'hypnotiques auraient été découverts dans des camps de terroristes au Moyen-Orient et vraisemblablement utilisés pour conditionner des terroristes suicides.

Les problèmes de drogues s'étendent à l'échelle de la planète. Ils baignent dans le sang et la misère humaine.

http://doriot-univers.blogspot.ch/2012/06/la-verite-sur-les-drogues_3196.html