Le Marché couvert de Montreux construit à la fin du XIXe siècle fut donné à la ville par Henri Nestlé. La structure métallique de l'édifice fait référence aux célèbres Halles de Victor Baltard à Paris. Son but premier était d’offrir une protection contre le mauvais temps, à présent c’est un lieu idéal pour organiser votre manifestation !
HASAN IBN AL-SABBAH Le seigneur de la montagne Fondateur de la secte des Assassins
(v. 1050-1124)
L'INCROYABLE HISTOIRE D'HASSAN IBN-AL-SABBAH
Le gouvernement d'Arabie en...autour de l'an 1200, savait très, très bien... savait très bien... ce qu'était une arme. C'était un soldat de cavalerie. Et avec leur épée, leur bouclier et leur arc, avec leur formation et leurs officiers, ces gars, en rangs, étaient une arme. La cavalerie avait atteint son apogée, vous en entendez parler dans les incursions de Gengis Khan et ainsi de suite. Tous les gouvernements du Moyen-Orient connaissaient la valeur de cette arme, ils la connaissaient parfaitement.
Mais il existait un homme du nom d'Hasan ibn-al-Sabbah. Il avait fondé une secte nommée les Assassins. C'était une ramification de l'islam. Personne ne voulait avoir à faire à ça. Mais ce gars et quelques -uns de ses disciples revinrent et construisirent une forteresse dans la montagne. Et il construit une forteresse au sommet de la montagne si difficile à prendre que Tamerlan lui-même se sentit provoqué et la détruisit bien plus tard. Seul Tamerlan et toutes ses troupes furent capables de la détruire.
Les ruines d'Alamut
En d'autres mots, il construisit une forteresse imprenable. Et au milieu de ses cours situés au sommet de la montagne, il avait bâti un paradis de lait et de miel, avec de véritables rivières de lait. Il avait engagé un certain nombre de houris aux yeux noirs à qui il avait appris à jouer de la guitare.
Et il a envoyé quelques-uns de ses hommes - l'arme était le haschich d'ailleurs - et il a envoyé quelques uns de ses hommes sur les routes à la recherche d'un beau garçon plutôt bête. Ils lui donnaient du haschich à l'auberge du coin, puis ils l'assommaient. Et ils le mettaient dans un panier, chargeaient le tout sur un âne et en route pour la forteresse. Quand il revenait à lui, il se trouvait au Paradis, entouré de quarante houris aux yeux noirs, et de rivière de lait et de miel. Et il disait, comme n'importe qui le ferait à sa place : << Où suis-je ? >>
Et sans hésiter, on lui répondait rapidement : << Fils, voici le Paradis. Tu es arrivé. >> Et ils le laissaient rester dans le coin deux ou trois jours et trouvait l'endroit très agréable, extrèmement agréable. Et il voulait rester très longtemps, mais ils disaient : << Ton arrivée au Paradis est prématurée. Je suis désolé mais tu dois accomplir un petit travail pour Allah. Et si tu veilles à te faire tuer lors de cette tâche et que tu réussis ta mission, nous pouvons te garantir que tu retourneras au Paradis. >>
Ils lui donnaient un peu plus de haschichs, le conduisaient au bas de la montagne et le plaçaient à proximité d'un palais. Auparavant, on lui avait dit que pour retourner au Paradis, il lui fallait assassiner le sultan. Et ce sultan, sorti pour sa promenade du matin et entouré de gardes ( ces beaux jeunes hommes, ces hommes de cavalerie qui étaient l'arme de l'époque), voyait un jeune homme surgir de la foule, cimeterre en main et le sultan avait la tête coupée. Bien sûr, les gardes transperçaient le jeune homme de part en part et où il allait, nous sommes les seuls à le savoir.
Puis le vieux de la Montagne faisait savoir aux gens quel était l'auteur de l'acte. Et tout ce que ce groupe avait à faire était de sous-entendre que quelque souverain d'un quelconque royaume ou d'une quelconque région éloignée avait fait quelque chose qui avait déplu aux Assassins - c'est de là que nous tenons le mot assassin - quelque chose qui avait déplu aux Assassins et qu'ils exigeaient pour cela trois chameaux chargés d'or, cinq houris de rechange et une amnistie générale pour quiconque était lié à leur secte, et tous les sultans du Moyen-Orient et de Perse s'empressaient d'envoyer à Hassan ibn-al-Sabbah et sa bande tout ce qu'ils demandaient, parce que les sultans étaient terrifiés. Il n'y avait pas moyen de se défendre contre un jeune homme qui était persuadé qu'un assassinat lui permettait de retrouver le Paradis auquel il avait déjà goûté. Ce fut une arme illimitée. Tout ce qu'elle fit, c'est détruire les gouvernements du Moyen-Orient. Et cette secte vécut presque 300 ans. Ce fut le gouvernement le plus stable ( si l'on peut parler de gouvernement) du Moyen-Orient.LRH/BSU
Les Haschichin sont entrés dans l'Histoire comme les premiers terroristes jamais connus. Utilisant le meurtre comme arme politique, ils ont acquis une célébrité telle qu'ils sont entrés dans le langage commun : c'est de leur nom que dérive le mot "assassin".
Les Haschichin étaient considérés en leur temps comme la secte la plus dangereuse du monde : fondée en Perse par Hassan ibn al Sabbah, dit le "Vieux de la Montagne", elle était composée de jeunes fanatiques intégristes soumis à un entraînement d'une rigueur extrême. Selon la légende, le "Vieux" ouvrait une fois les portes du Paradis à ses disciples, leur permettant de goûter à l'amour, l'alcool et la drogue, et obtenait ensuite d'eux tout ce qu'il voulait. Ces derniers étaient en effet tous prêts à mourir pour retourner au ciel et assassinaient tous ceux qu'on leur demandait d'exécuter. Marco Polo, qui avait traversé cette région en 1273, racontait ainsi : "Va tuer Untel et Untel, et à ton retour, mes Anges te ramèneront au Paradis. Et même si tu dois mourir, j'enverrai quand même mes Anges qui se chargeront de te ramener au Paradis." Les "Assassins" tuaient ainsi tout personnage hostile à leur cause et aux intérêts du "Vieux", et se faisaient ensuite souvent exécuter.
En 1092, les Haschichin commettent leur premier crime : ils assassinent le vizir en personne, Nizâm al-Mulk. Dès lors, plus personne n'est en sécurité : gouverneurs, théologiens, princes, généraux, rois... Tous ceux qui déplaisent à la secte sont éliminés les uns après les autres. En 150 ans, l'influence de la secte s'étend de la Méditerranée jusqu’au fond du Turkestan. Au bout de cette période, la secte est cependant affaiblie : en 1258, sous le règne du 7e successeur d'Hassan, les Assassins ne parviennent pas à résister à l'attaque des Mongols. Ces derniers décident de les anéantir : recherchés dans toute l’Asie, les membres de la secte sont impitoyablement massacrés. Aujourd'hui, 8 siècles plus tard, on raconte que la secte existe encore en Perse, sur les bords de l’Indus et du Gange, dans les montagnes du Liban : les Assassins courent toujours...
Le fondateur de la secte, Hassan ibn al SABAH est né en 1040, à Rey (Perse), et a étudié à Nishapur, avec le futur grand vizir Nizam-el-Molk (une de ses premières victimes) et le poète, philosophe et mathématicien Omar Khayyam. Converti à l'ismaïlisme (branche hérétique de l'islam). Il mourut en 1124 mais est suivi par d'autres "Maîtres des Assassins", tout aussi redoutables.
Sa citadelle la plus célèbre fut Alamut , au coeur de l'Elbourz iranien.
LA FORTERESSE D' ALAMUT
Complete restoration of the fortress of Hassan Sabbah, the lord of Alamut, will probably take 10 years to finish, head of the site’s explorations team said.
Two thousand square meters of the ten thousand square meter fortress, considered the largest and most important fortress of the Ismailids, which withstood the Seljuks for 170 years, have so far been restored.
According to head of the restoration team, Hamideh Choubak, during the past three years the floors, remaining walls, towers, and decorations of two thousand sq. meters of the site have been restored and preserved. Another activity has been the registration and maintenance of items and structures discovered in the area during four seasons of excavations.
The repair works of the main tower of the Alamut Fortress, called also the Eagle Nest, will soon start, probably taking two months to complete.
Le « Charlot » du film les Temps Modernes, alias Charlie Chaplin, comédien, scénariste et producteur de cinéma, s’établit au Manoir de Ban à Vevey. Sa statue sur les quais rappelle un séjour de 25 ans.
Son personnage Charlot, pour les francophones, The Tramp (le vagabond) dans les pays anglo-saxons, apparaît pour la première fois dans Charlot est content de lui (Kid Auto Races at Venice), le 7février1914. C'est un sans domicile fixe qui a des manières raffinées dignes d'un gentleman, muni d'une canne de bambou, coiffé d'un chapeau melon, vêtu d'une veste étriquée et d'un pantalon qui tombe sur des chaussures trop grandes. Cette allure lui vaudra la réputation de « vagabond » misérable et roué, asocial et obstiné, révolté et sentimental[3].
Il fut fortement inspiré par l'acteur burlesque français (il apprend le théâtre avec sa mère) Max Linder[4] : tous deux choisiront un costume bien à eux. Mais Max Linder, au contraire de Charlie Chaplin, ne se fera pas représenter comme une victime de la société[5]. La vie publique et privée de Charlie Chaplin fera l'objet d'adulation, comme de controverse[6].
Lors d’une tournée en Europe pour présenter le film Les Lumières de la rampe, Charlie Chaplin (Londres 1889-Vevey 1977) se voit interdire le retour aux USA en raison du maccarthysme.
Il choisit de s’établir à Vevey avec son épouse et ses enfants, dont 4 naîtront en Suisse. La famille réside au Manoir du Ban à Corsier, une maison de maître de style néoclassique, construite en 1840 et entourée d'un vaste parc de 14 hectares aux arbres centenaires. Les enfants fréquentent l’école publique et Charlie Chaplin, au faîte de sa gloire, réalisera et jouera notamment dans Un Roi à New-York (1957) et La Princesse de Hong-Kong (1967).
Charlie Chaplin a été l’un des professionnels les plus créatifs de l'ère du cinéma muet. Acteur, réalisateur, producteur, scénariste, écrivain et compositeur musical, il s’est fait remarquer à Hollywood par son jeu de mime et sa clownerie.
Il repose au côté de son épouse au cimetière de Corsier et une statue de bronze de Charlot, sur la promenade des quais, rappelle sa présence à Vevey.
Dans un proche futur, le Manoir de Ban abritera le Musée Charlie Chaplin dédié à sa vie et ses œuvres.
On la surnomme Mama Africa. Miriam Makeba est l'artiste panafricain qui incarne le plus la lutte anti-apartheid. Une grande dame de la chanson dont la vie fut sans cesse peuplée d'épreuves douloureuses. Disparitions d'êtres proches, divorces, exil...
Elle vient au monde le 4 mars 1932 à Johannesburg (Afrique du Sud). Père instituteur, mère domestique : le premier la laisse orpheline à 5 ans, la seconde est enterrée pendant que l'artiste est condamnée à l'exil par l'Etat, ségrégationniste, en 1963. Interdite d'école à 16 ans pour cause de système discriminatoire, elle fera des ménages chez les Blancs, avant de découvrir son talent et d'enregistrer « Pata Pata », son plus gros succès, en 1956.
Saluée pour sa présence dans Come Back Africa, un film réalisé sur la dure vie des Noirs sud-africains, elle quitte son pays pour une tournée internationale, dont elle ne pourra revenir que trente années plus tard, à cause de ses positions militantes. Soutenue par Harry Belafonte, elle séduit l'Amérique. Boycottée à la fin des années 1960 par sa maison de disques, parce que mariée à un leader des Black Panthers, Stokeley Carmichael, elle s'installe en Guinée.
Depuis la libération de Mandela, elle est revenue dans son pays de naissance à l'invitation de Nelson Mandela. La chanteuse qui fut l'une des pionnières de la promotion de la musique africaine dans le monde décède d'une crise cardiaque à l'issue d'un concert de soutien à l'écrivain Roberto Saviano à Castel Volturno, en Italie, le 10 novembre 2008.
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10 juillet 2010
Vendredi soir, l'Afrique s'est invitée au Montreux Jazz avec un hommage à la Sud-Africaine Miriam Makeba et un concert de Youssou N'Dour
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Jean-Claude Doriot est né à Reconvilier, originaire de Tramelan. Age 59 ans. Signe Scorpion. Marié et une fille Sylvie. Domicilié à Montreux Les Colondales. Profession Imprimeur, Editeur du Magazine Montreux Info-Ville. Expérience : Directeur d'une grande imprimerie Montreusienne, puis Patron dès 1998. Président des Pêcheurs Fipal, puis Président d'honneur. Municipal de la ville de Montreux, 1998 - 2010.
Député au Grand Conseil Vaudois 1996-1998. Jury au Tribunal Cantonal du Canton de Vaud 1974-1976.
Actuellement retiré des affaires politiques et Patron d'info-ville.
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